Vous avez le choix > Assainissement autonome : les plantes à la rescousse !
Quelques réalisations
Avantages
des filtres plantés en phytoépuration
Pérennité, accessibilité - Indépendance
Le problème numéro un concernant les installations d’assainissement non collectif, réside dans le colmatage du substrat. En dehors des dysfonctionnements accidentel qui mènent à un colmatage précoce, d'une manière générale le substrat filtrant de toutes les filières de traitement (filtre à sable station compacte etc...) est amené à se colmater dans le temps, en raison du biofilm qui s'y développe. Il faut alors appeler une entreprise pour renouveler le massif filtrant et traiter la matériau usagé.
L’installation de phytoépuration n’étant pas enterrée, une simple intervention de type jardinier permet de résoudre le colmatage des granulats le cas échéant. Ceci lui confère une longue durée de vie. L'écosystème végétalisé s'autorégénère du fait de la reconstitution d'un sol fonctionnel (matières organiques - racines)
Ce que dit la loi
Lorsque l'habitat est trop dispersé, le coût de raccordement à une station d'épuration est trop élevé. Les maisons ou immeubles doivent donc se doter d'un système d'assainissement non collectif.
La réglementation prévoit que les communes prennent en charge le contrôle des systèmes d’assainissement non collectif grâce au Service public de l’assainissement non collectif (Spanc) qui doit être mis en place au 31 décembre 2005.
Elles doivent en particulier contrôler les réalisations des nouvelles installations, la qualité des installations existantes et vérifier que les particuliers assurent bien l’entretien périodique des dispositifs notamment la vidange des fosses.